1995
À l’aube du référendum sur l’indépendance du Québec, Jérôme Piché, alors directeur général de l’impartition chez Bell Canada, est élu président du RJGAQ.
À l’aube du référendum sur l’indépendance du Québec, Jérôme Piché, alors directeur général de l’impartition chez Bell Canada, est élu président du RJGAQ.
Le RJGAQ dépose son premier mémoire alors que l’organisation est présidée par André Dessureault, alors avocat à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ).
Philippe Côté (1993-94) succède à M. Poliquin à la présidence et le RJGAQ accueille ses premiers gouverneurs; André Bérard de la Financière Banque Nationale et Martine Corriveau-Gougeon de Bell. Comptant maintenant 8 membres, le RJGAQ interpelle les candidats principaux à l’élection fédérale de 1993, Jean Chrétien, Lucien Bouchard et Kim Campbell, à répondre aux questions de la relève d’affaires – les réponses de chacun ont été présentées dans le journal du Regroupement. Le congrès 1993 a lieu le 15 mai à St-Hyacinthe, organisé par la jeune chambre Maskoutaine.
Le Regroupement des jeunes gens d’affaires du Québec – RJGAQ – voit le jour le 4 mai 1992. Jean Poliquin de Trois-Rivières devient le premier président (1992-93) de l’organisation qui compte déjà 7 membres.
Le premier congrès du RJGAQ est tenu à Trois-Rivières. Plus tôt cette année- là, Louis Garneau était nommé l’une des 10 jeunes personnalités d’affaires du mois.
Le Regroupement prend forme alors que s’intensifient les discussions entre Monique Thomas de la JCCM, Philippe Côté de la JCCQ et Jean Poliquin de la JCCQ. Les jeunes chambres qui deviendront le Regroupement se rassemblent pour la première fois à Saint-Jean-sur-Richelieu.
Début des discussions du regroupement entre la jeune chambre de commerce de Trois-Rivières (alors la jeune chambre de commerce Cœur du Québec), La Jeune chambre de commerce de Montréal (JCCM) et la Jeune chambre de commerce de la ville de Québec, fondée quelques années auparavant avec l’aide de Jean Béland, alors directeur général de la JC de Trois-Rivières. Ces mêmes démarches ont eu des répercussions dans les villes de Drummondville et St-Hyacinthe, parmi d’autres, qui souhaitaient créer des jeunes chambres à la fin des années ’80. Il existait alors un organisme parallèle nommé la Fédération des jeunes chambres, aucunement lié aux démarches qui voyaient le jour.