2000

Sous la présidence d’Hélène V. Gagnon (2000-01), alors directrice des affaires publiques chez Noranda, le RJGAQ multiplie les initiatives d’affaires publiques en participant au Sommet du Québec et de la jeunesse et en déposant 8 mémoires dont le fameux « RQAP-un débat qui nous concerne ». Le regroupement, qui représente maintenant 3 200 jeunes gens d’affaires, ouvre son membership aux ailes jeunesse des chambres de commerce, qui souhaitaient joindre l’organisation, notoriété croissante. Le congrès 2001 a été tenu à Montréal. 9 ans plus tard, Mme Gagnon recevait le prix hommage du RJGAQ.

1999

C’est sous la présidence de Martin Foster (1999-2000) que voit le jour le bureau des gouverneurs avec certains des plus grands noms du Québec inc. qui prêtent leur nom, leur appui et un soutien financier au regroupement;

  • André Caillé, Président du conseil d’administration d’Hydro-Québec,
  • Jean-Claude Scraire, Président de la Caisse de Dépôt et placement du Québec;
  • André Bérard, Président du conseil et chef de la direction de la Banque Nationale;
  • Josée Goulet, Vice-présidente à la gestion des produits chez Bell;
  • André Gareau, Président et chef de la direction chez Spectra Télécom;
  • J.R. André Bombardier, Vice-président du conseil chez Bombardier.

Invité au Sommet de la jeunesse, le RJGAQ prend position vis-à-vis des enjeux qui affectent la jeunesse en déposant conjointement un mémoire avec la CCQ et la JCCM. Le conseil d’administration est très sensible à la valorisation des membres en région et organise une tournée des membres pour rapprocher les jeunes chambres entre elles et tisser des liens. Le congrès a lieu en mai, à Hull.

1998

Sylvie Savoie (1998-99) devient la première femme à présider le RJGAQ, qui compte maintenant 11 Jeunes chambres membres. Alors que la permanence s’installe à Charlesbourg, au 4600 Boul. Henri-Bourassa, le DG est Jean-François Collin et le RJGAQ siège au SAREJ (service aide aux réseaux entreprises jeunesse). Riche d’un nouveau site Web (affaires.qc.ca), le Regroupement se mobilise avec la mise sur pied d’un comité d’affaires publiques, en promouvant le projet « La responsabilité sociale de l’entreprise » et en participant au « Mondial de l’entrepreneuriat jeunesse». Suite à la « Caravane 1998 », une tournée du CA pour rencontrer toutes les Jeunes chambres, le congrès 1999 se déroule sous la présidence d’honneur d’Alexandre Taillefer, alors président d’Intellia, qui serait vendue à Nurun quelques mois plus tard.

1997

Comptant désormais 10 jeunes chambres membres, le RJGAQ sera présidé par André Buteau, alors chez London Life. Son bureau de direction compte presque tous les prochains présidents et présidentes du RJGAQ, qui s’apprête à entamer une croissance importante sur l’échiquier provincial.

1996

Le Regroupement participe au sommet socio-économique et, sous la présidence de Denis Lafrenière (1996-97), le RJGAQ tient la première Journée des administrateurs, qui permet aux dirigeants des Jeunes chambres membres de développer leurs habiletés de gouvernance tout en réseautant.